#Obesite Morbide: quand l’ #obésité devient une maladie? https://youtu.be/dOQlTb0x5eU

#Obesite Morbide: quand l’ #obésité devient une maladie

D’après aspect du votre Corps , je peux vous dire si vous avec un risque de développer un syndrome métabolique: diabète hypertension problème cardiovasculaire… Obesite Morbide: quand l’obésité devient une maladie? La prise en charge des comorbidités est un des objectifs prioritaires. Le contrôle d’un diabète, de la pression artérielle et des autres facteurs de risque vasculaire, le soulagement des douleurs arthrosiques, le traitement du syndrome des apnées du sommeil ne doivent pas être négligés au profit de la seule réduction pondérale, qui n’est pas toujours suffisante en elle-même.

1- La phase de réduction pondérale : Principe : obtenir un bilan énergétique négatif – Diminuant les apports alimentaires -Augmentant les dépenses énergétiques. Durée varie en fonction inverse de l’importance du déficit énergétique proposé.
2- La phase de stabilisation: La phase de stabilisation pondérale est totalement différente.
Le bilan énergétique est alors, par définition, équilibré (entrées = sorties). Paradoxalement, cette étape est beaucoup plus difficile à gérer que la précédente, car le patient est déçu et inquiet de ne plus maigrir, malgré la poursuite de la démarche entreprise. Ne pas reprendre le poids perdu implique des changements souvent mineurs mais constants dans le mode de vie. Un tour de taille supérieur au seuil indique un risque élevé: Maladies cardio-vasculaires, Diabète de type 2, Dyslipidémies, Certains cancers. Au-delà d’un IMC de 35 kilogramme/m2, l’intérêt pronostique est moindre, l’IMC suffit.

L’obésité androïde est une des composantes du syndrome métabolique, considéré lui même comme un état pré-diabétique et associé à une augmentation du risque cardio-vasculaire.

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