Hantavirus et les Maladies infectieuses virales émergentes
Hantavirus: maladies infectieuses virales émergentes. Hôtes, modes de transmission, les professions et personnes à risque, les signes et symptômes de la maladie respiratoire, rénale. comment prévenir et précaution à prendre pour éviter la contamination, L’émergence d’une maladie virale résulte le plus souvent d’un déséquilibre dans l’interaction entre l’agent infectieux, l’hôte et l’environnement. Parmi ses maladies infectieuses viral, on a les maladie du au HANTAVIRUS, réalisant un tableau de SYNDROME PULMONAIRE À HANTAVIRUS: (HPS) est l’un des deux syndromes potentiellement mortels dus à une zoonose provoquée par une espèce d’hantavirus. Le genre Orthohantavirus regroupe des virus appartenant à la famille des Hantaviridae, parmi lesquels le virus Hantaan semble le plus dangereux. Il s’agit de virus à ARN monocaténaire de polarité négative appartenant au groupe 5 de la classification Baltimore. Les virus en cause sont: le virus de Black Canal Creek, (BCCV), le virus New York (NYV). le Sin nombre virus (SNV). et certains autres membres du genre hantavirus qui sont endémiques aux États-Unis, et au Canada. Des rongeurs spécifiques sont les principaux hôtes des hantavirus, Ce sont le hispid cotton rat (Sigmodon hispidus) au sud de la Floride, qui est le principal hôte du virus de Black Canal Creek ,. La souris sylvestre ( Peromyscus maniculatus) au Canada et à l’ouest des États-Unis est l’hôte principal de Sin nombre virus. La souris à pattes blanches ( Peromyscus leucopus) dans l’est des États-Unis est le principal hôte du virus New York. La transmission de ce virus hantavirus se fait par aérosol d’excréments de rongeurs reste le seul moyen connu de transmission du virus à l’homme. En général, les gouttelettes et ou la transmission par un vecteur passif, n’a pas été démontré pour les hantavirus, ni dans la forme pulmonaire, ni dans la forme hémorragique. Signes et symptômes: Les prodromes associent des symptômes pseudo-grippaux tels que: la fièvre, la toux, les myalgies, les céphalées, la léthargie, et la dyspnée, qui évolue rapidement vers une insuffisance respiratoire aiguë. Elle est caractérisée, par l’apparition soudaine d’une dyspnée qui évolue rapidement, en œdème pulmonaire, elle est souvent fatale, malgré l’assistance respiratoire, et l’injection de diurétiques puissants. Le taux de mortalité est de 50 %. Traitement Il n’existe aucun remède ou vaccin pour le HPS. Le traitement est uniquement symptomatique, réanimation avec ventilation mécanique, avec de l’oxygène pendant la phase respiratoire critique. Le diagnostic précoce, et l’admission dans un service de soins intensifs permet un meilleur pronostic.
un cas déjà paru en argentine ( https://www.who.int/csr/don/23-January-2019-hantavirus-argentina/fr/ ) et en chine heureusement elle est faiblement transmissible.