PROPORTION DES CANCERS LIÉS AUX FACTEURS DE RISQUE DE CANCER:
On peut prévenir 40 % des cas de cancers, environ 142000 par an, grâce à des changements de comportement et des modes de vie.
Croire que l’environnement est une cause majeure de cancer est irrationnel. Il joue un rôle, c’est certain, mais très faible comparé aux trois premières causes de cancers évitables que sont le tabac, l’alcool et l’alimentation.
on premiére ligne le tabac, responsable de 19,8%.
deuxième position l’alcool, à 8%.
l’alimentation déséquilibré, 5,4%.
le surpoids, 5,4%.
certaines inféctions virales,
notament le papillomavirus, hélicobactére pylori,
virus des hépatites b et C, responsable de 4% des cancers.
l’exposition professionelles, 3,6%.
rayonement u v, soleil, cabine u v,3%.
les radiations ionisantes, radon, expositions ou diagnostique, 1,8 %.
manque d’activité physique, inférieur à30 minutes par jour, 0,9%
les traitement hormonaux, et la ménopause, 0,6%.
ne pas avoir allaité, 0,5 %. les particules fines, 0,4%.
voici les Recommandations pour la prévention primaire DES CANCERS.
l’Activité physique:
Limiter les activités sédentaires (ordinateur, télévision…).
Chez l’adulte, pratiquer au moins 5 jours par semaine, au moins 30 minutes d’activité physique
d’intensité modérée, comparable à la marche rapide,
ou pratiquer 3 jours par semaine, 20 minutes d’activité physique, d’intensité élevée comparable au jogging.
Chez l’enfant et l’adolescent, pratiquer un minimum de 60 minutes par jour, d’activité physique d’intensité modérée à élevée, sous forme de jeux, d’activités de la vie quotidienne ou de sport.
Relation entre l’activité physique, et l’incidence du cancer du sein:
« L’activité physique est un facteur de prévention probable du cancer du sein »
elle Diminu de 25%, le risque de survenue de cancer du sein en
moyenne chez les femmes les plus actives.
Plus on fait de l’activité physique, plus il y a de bénéfices, ( relation effet dose, réponse).
Pour les femmes ménopausées, le risque de développer un cancer du sein diminue de 10% chaque fois que l’on ajoute 2 heures d’activité physique par semaine.
L’ensemble des activités physiques est essentiel.
Il y a un effet limité chez les femmes non ménopausées.
Selon les études de cohorte (qui suivent pendant une longue période un groupe de personnes répondant à des caractéristiques précises), le pourcentage de diminution du risque de cancer du côlon (gros intestin) est estimé à 17 % pour les individus physiquement les plus actifs par rapport aux moins actifs. Il est équivalent pour l’activité physique professionnelle (15 %) et de loisirs (14 à 20 %).
Pour les autres localisations (le cancer du pancréas, le cancer du rein), les données scientifiques disponibles ne permettent pas de conclure.
Fruits et légumes:
Consommer chaque jour au moins 5 fruits et légumes variés (quelle que soit la forme : crus,
cuits, frais, en conserve ou surgelés) pour atteindre au minimum 400 g par jour.
Consommer aussi chaque jour d’autres aliments contenant des fibres tels que les aliments
céréaliers peu transformés et les légumes secs.
Satisfaire les besoins nutritionnels par une alimentation équilibrée et diversifiée sans recourir aux compléments alimentaires.
l’Allaitement:
Pour le bénéfice de la mère, et de l’enfant, allaiter son enfant.
il recommander d’Allaiter si possible, de façon exclusive et idéalement jusqu’à l’âge de 6 mois.
Boissons alcoolisées:
La consommation d’alcool est déconseillée, quel que soit le type de boisson alcoolisée (vin, bière, spiritueux…).
Les cancers dont le lien avec la consommation d’alcool est avéré sont les cancers de l’œsophage, des voies aérodigestives supérieures, du sein chez la femme, et le cancer colorectal, du foie,
Le tabac est le premier facteur de risque de cancer.
Pour réduire le risque de cancer, il est aussi important de ne pas fumer ou d’arrêter sa consommation.
le risque de cancer du poumon (est multiplié par 10 à 15 pour un fumeur) et de cancer de la vessie.
Il est également responsable des nombreux autres cancers ORL, œsophage, estomac, colon, foie, pancréas, col de l’utérus.
Surpoids et obésité:
Maintenir un poids normal (i m c, entre 18,5 et 25 kilogramme par métre carré.
ce graphe résume le Nombre de cas de cancers attribuables au surpoids, et à l’obésité chez les hommes et les femmes âgés de 30 ans et plusse, en France, en 2015.
consommer peu d’aliments à forte densité énergétique, et privilégier les aliments à faible densité énergétique tels que les fruits et légumes.
Surveiller le poids de façon régulière, (une fois par mois).
Pour les sujets présentant un surpoids (i m c, supérieur à 25 kilogramme par métre carré), une obésité, ou une
prise de poids rapide et importante à l’âge adulte, un accompagnement et éventuellement une prise en charge sont à envisager.
Viandes rouges et charcuteries:
Limiter la consommation de viandes rouges à moins de 500 gramme par semaine. Pour compléter
les apports en protéines, il est conseillé d’alterner avec des viandes blanches, du poisson, des œufs et des légumineuses.
Limiter la consommation de charcuteries, en particulier celle des charcuteries très grasses et/ou très salées.
En cas de consommation de charcuteries, afin de diminuer le risque de cancers, réduire autant
que possible la taille des portions et la fréquence de consommation.
Le Risque Relatif, est exprimé pour une augmentation de 100 gramme de viandes par jour, et de 50 gramme de charcuteries par jour,
(par exemple pour chaque portion journalière supplémentaire de 100 gramme de viandes, le risque de cancer colorectal est augmenté de 12 %, soit pour une portion de 200 gramme, une augmentation de risque de 24 %);
IC: intervalle de confiance.
je vous invite à voir cette vidéo sur: Les viandes rouges sont elles dangereuses pour la santé?
on va passer maintenant aux Compléments alimentaires:
il faut savoir, qu’il n’ya pas d’indication aux compléments alimentaires, une Alimentation diversifiée suffi.
Ne pas consommer de compléments alimentaires à base de bêta-carotène.
Une supplémentation en bêtacarotène à forte dose supérieur à 20 miligramme par jour de bêtacarotène, chez les fumeurs et ex-fumeurs, est associée à une augmentation du risque de cancer
du poumon.
Sauf cas particuliers de déficiences et sous le contrôle d’un médecin, la consommation de compléments alimentaires n’est pas recommandée.
donc, Il est conseillé de satisfaire les besoins nutritionnels, par une alimentation équilibrée, et diversifiée, sans recourir aux compléments alimentaires.